tag:blogger.com,1999:blog-31984517049496883922024-03-05T10:27:08.928+01:00élever un enfant capricieuxImposez la discipline à vos enfants, instaurez le contact entre vous et vos enfants pendant le temps où vous les discipliner. Etablissez des limites dans vos rapports entre vous et votre enfant lorsque vous instaurez la discipline dans votre foyer.Julissa16http://www.blogger.com/profile/11811911151778500685noreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-3198451704949688392.post-50737434862532739652014-01-04T22:37:00.002+01:002014-01-04T22:37:23.872+01:00Comment gérer la jalousie de votre enfant avec l'arrivée d'un petit frère ou d'une petite soeur dans la famille?Aujourd'hui, je vais vous parler de la jalousie éprouvée par votre enfant lorsque vous lui annoncez qu'un petit frère ou une petite soeur va agrandir la famille dans les prochains mois.<br />
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A partir de ce moment là, votre aînée se sent "abandonné" ou délaissé par ses parents qui sont préoccupés avec l'arrivée de ce dernier ou cette dernière. A longueur de journée, votre aînée peut entendre parler de ce bébé tant attendu dans son entourage et il s'aperçoit que sa mère lui accorde moins de temps qu'auparavant suite à sa grossesse car elle a besoin de se reposer parfois car elle se sent fatiguée, ou alors elle doit préparer la chambre du bébé à venir, et encore, elle doit faire ses examens médicaux liés pour sa grossesse afin de surveiller l'évolution de son bébé in vitro pendant le mois en cours et il peut s'avérer que votre aîné(e) commence à réclamer plus d'attention et de disposer de plus de temps pour lui ou elle en général (envie d'aller au parc, à la piscine, au zoo, au cinéma si il ou elle est plus agé(e), ou alors assister au spectacle de l'école organisé par sa classe.</div>
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Pour commencer à gérer ce conflit vis à vis de ce deuxième petit être, c'est de lui faire comprendre que vous êtes toujours sa maman quoiqu'il arrive et que votre amour pour lui ne changera pas ni aujourd'hui, ni jamais.</div>
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Vous pouvez lui faire comprendre qu'il deviendra un grand frère ou une grande soeur vis à vis de ce bébé et il arrivera par moment qu'il devra le ou la protégé(e) plus tard contre tout danger et qu'il devra montrer le bon exemple car dans certaines familles, on s'attends à ce que l'aîné(e) montre le bon exemple envers son petit frère ou sa petite soeur comme quand vous devez lui montrer le bon exemple dans une situation précise. Et bien là c'est la même chose vis à vis de l'image qu'il doit inculquer ou produire envers lui ou elle.</div>
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Si vous êtes une femme, faites le aussi participer à votre grossesse si vous êtes enceinte ou si vous venez d'accoucher présentez votre bébé à votre aîné(e) tout en lui expliquant qu'il est très fragile au niveau corporelle lorsqu'il est en bas âge.</div>
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Vous pouvez aussi lui expliquez sa propre naissance si il pose des questions sur ce sujet si la curiosité de votre enfant se développe à ce sujet.<br />
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Une fois que ce deuxième enfant est né(e) encore un fois intégrez votre enfant dans l'accueil du bébé à votre domicile lorsque vous avez quitté la maternité.<br />
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Faites lui comprendre que ce bébé est son petit frère ou sa petite soeur. Et pendant la visite des autres membres de la famille une question se pose toujours :" Est ce que tu es content(e) d'avoir un petit frère ou une petite soeur? " ET vous verrez la réponse de ce dernier ou de cette dernière vis à vis de ce petit être.<br />
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C'est là que le sens du partage se fait sentir la première leçon de vie que l'enfant doit tôt ou tard apprendre pour le reste de sa vie, et ce partage qui est le plus précieux entre tous est : l'amour d'une mère vis à vis de ses enfants et plus tard il doit apprendre à partager sa chambre, ses jouets, etc.....<br />
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Si vous même vous avez déjà eu ce problème étant petite vis à vis de votre propre frère ou soeur n'hésitez pas à en parler à votre enfant. Je peux même vous avouez que de mon côté j'ai été confronté à la jalousie envers ma soeur pendant ma petite enfance lorsque j'avais 2 ans révolus à l' époque. Ma mère venait d'accoucher de ma soeur,quand j'ai manifesté ce sentiment là à ma manière, ma mère a alors employé les grands moyens pour me faire comprendre une bonne fois pour toute que j'ai une petite soeur et que je dois l'accueillir comme il se doit et comme j'avais eu un mauvais comportement vis à vis d'elle, ma mère m'a immédiatement punie! et cela à porté ses fruits car à l'avenir j'ai appris à accepter l'arrivée de ma soeur à la maison et deux ans après , ma mère donne naissance à mon petit frère lorsque j'avais 4 ans et là je n'ai manifesté aucune jalousie apparente.<br />
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Plus tard vers l'âge de 9 ans environ, j'ai appris que j'avais un grand frère issu d'une autre union de mon père avec une autre femme en dehors du mariage de mes parents qui allait venir à la maison et là aussi je devais l'acceuillir à bras ouvert et il arrivait parfois que le contact avec lui n'étais pas facile car à cette époque il avait 13 ans! c'était déjà un pré-ado.<br />
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Je peux encore citer un autre exemple où la jalousie de l'enfant peut se manifester à travers une situation grave : son petit frère ou sa petite soeur tombe malade au point que sa maladie nécessite une longue hospitalisation et là encore ses sentiments peuvent être mis à rude épreuve vis à vis de la disponibilité de ses parents à lui accorder une fois de plus du temps pour lui à cause du fait qu'ils doivent veiller sur l'évolution de l'état de santé de leur deuxième enfant hospitalisé.<br />
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J'espère que cet article à pu vous plaire, je peux encore vous citer un lien qui parle de ce sujet :<br />
<a href="http://xn--natre%20et%20grandir-c5b.com/" target="_blank">Arrivée de bébé : prévenir la jalousie</a></div>
Julissa16http://www.blogger.com/profile/11811911151778500685noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-3198451704949688392.post-45072545117034128592013-11-15T20:03:00.000+01:002013-11-20T14:46:39.373+01:00CONSEILS POUR LES PARENTS D'ENFANTS DIFFICILES!<br />
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Il est temps de placer la famille au centre de vos préoccupations<br />
Pour la santé, la forme, l'équilibre et le bien-être futur de vos enfants<br />
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La plupart des parents se sont déjà sentis impuissants et frustrés devant un enfant difficile à table. Dans ces moments-là, on passe par beaucoup de sentiments, on essaie parfois de mettre des chantages en place. Nous aimerions que notre chérubin mange de tout et tentons désespérément de lui faire avaler ce plat. La bataille se livre surtout avec les légumes verts. Sachez tout d'abord que vous n'êtes pas les seuls, et que les goûts de votre enfant varieront souvent.<br />
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Voici quelques astuces qui pourront vous aider : Les enfants ne mangent que lorsqu'ils ont faim. Si le vôtre n'a pas faim, ne le forcez pas à prendre un repas ou une collation. Ne lui apportez pas son repas devant la télévision, en espérant qu'il mangera mieux. Et s'il vient à table, ne l'obligez pas à toute force à finir son assiette. Respectez l'appétit de votre enfant, vous risqueriez seulement de mettre en place une lutte de pouvoir par rapport à la nourriture.<br />
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Les enfants ont souvent du mal avec le gout et l'odeur des nouveaux aliments. Ils refusent de les manger, ou les mettent à la bouche et les recrachent. Ne vous braquez pas, expliquez-lui d'où vient ce nouveau légume, quel gout il a, comment on peut le cuisiner. Représentez-le-lui régulièrement. Vous devez faire en sorte qu'il ne soit plus une nouveauté. Votre enfant devrait de lui-même vous en demander, au bout de quelque temps.<br />
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Lorsque nous avons des enfants, nous instaurons des « routines », heures de lever, de coucher, etc., vous devez faire de même, avec l'heure des repas. Et surtout, prenez garde que vos collations soient données au moins une heure avant les repas. Ainsi, votre enfant aura faim quand vous l'appellerez pour passer à table, il sera donc plus enclin à manger.<br />
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Sans que le repas devienne une bataille rangée avec les aliments comme munition, il doit rester un plaisir. Transformez-le en jeu : formez une tête avec les spaghettis, les boulettes pour les yeux et la sauce deviendra une bouche. Inventez des histoires : « le géant prend les arbres (brocolis), les trempe dans le fleuve (sauce béchamel) et les mange ». Incitez vos enfants à participer, vous verrez qu'ils sont très créatifs. Par contre, éliminez toutes les autres distractions : éteignez la télévision, enlevez les livres et les jouets de la table.<br />
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Demandez à votre enfant de vous accompagner en courses, demandez-lui de vous aider à choisir les produits. Faites-le participer, une fois rentré à la maison : faites-lui rincer les légumes, les éplucher, les mélanger, les mettre sur la table. Plus vous le ferez participer, plus il se sentira impliqué, plus il aura tendance à manger ce qu'il a préparé. Nous avons tous tendance à offrir le dessert comme une récompense. D'une part, le chantage risque d'induire une lutte de pouvoir au niveau du repas, mais vous envoyez aussi inconsciemment le message à votre enfant que le dessert est le meilleur aliment du repas. Évitez cette situation. De plus, les desserts doivent rester occasionnels. Les fruits, les yaourts devraient les remplacer pour une alimentation plus saine.<br />
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Vous pouvez devenir un peu sournois, en ajoutant du brocoli haché à la sauce spaghetti, en rajoutant des tranches de courgettes très fines dans votre gratin, des carottes ou des haricots verts dans votre hachis Parmentier, incorporez des légumes dans les smoothies, etc.<br />
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Enfin, ne tombez pas dans le piège de confectionner un repas différent à votre enfant, s'il refuse le plat que toute la famille mange. Vous ne feriez que l'encourager. Proposez-lui sans le forcer. Ces aliments lui devenant familiers, il finira sans aucun doute par y goûter.<br />
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N'oubliez pas que les enfants apprennent en imitant et que vous restez un modèle à leurs yeux. Si vous-même mangez de tout, de façon variée, en privilégiant les aliments sains, votre enfant sera plus susceptible de faire comme vous.<br />
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Ces quelques conseils devraient vous aider. N'oubliez pas que les habitudes alimentaires de votre enfant ne changeront pas du jour au lendemain. Tout comme vous, votre enfant peut ne pas aimer un aliment.<br />
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Bienvenu(e) sur le blog élever un enfant capricieux.<br />
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Elever un enfant capricieux et/ou colérique n'est pas facile tout les jours! Votre force et votre énergie sont mises à rude épreuve tout les jours vis à vis de votre enfant dans certaines situations et aussi si vous traversez une période difficile et sombre au niveau de votre vie personnelle (divorce avec le père ou la mère, remariage, difficulté financière, décès d'un parent....)<br />
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A ce stade là votre enfant fait de la résistance vis à vis de vous et s'oppose à votre autorité au point qu'il n'y a plus de repères entre vous et votre enfant, vous ne savez plus quoi faire pour y remédier une fois que vous avez épuisez la méthode d'éducation traditionnelle.<br />
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Vous vous dites : "Je ne suis peut-être pas une bonne mère ou un bon père pour lui ou pour elle, je n'ose pas lui dire non par moment, c'est peut-être dû au fait que je suis en pleine séparation avec son père ou sa mère..." ou encore " Je suis dépassé(e) par la situation, je ne sais plus quoi faire pour me faire entendre dans cette maison". Cet échec peut engendrer dans votre couple une tension sans précédent sur le fait que vous n'arrivez pas ou plus à imposer votre autorité et établir le contact avec votre enfant ou lorsque vous tentez d'établir le contact pour pouvoir instaurer l'ordre et la discipline au sein de votre foyer.<br />
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Il se peut aussi que votre enfant ait le statut de " l'enfant roi", un enfant à qui on doit tout donner et surtout à qui on ne peut pas dire "NON!" ou lui dire la phrase "TU N'AURAS PAS CECI OU CELA SI TU NE FAIS PAS CECI OU CELA" et de là viennent les crises de colères et le début des caprices. Cette période de crise peut se manifester devant témoins (le père, la tante, la grand-mère....) et cela peut provoquer l'indignation de ceux-ci lorsque vous cédez à tout ses caprices : " Ton enfant ne te respectes pas! NE LE LAISSE PAS FAIRE CA A L'AVENIR! FAIS QUELQUE CHOSE!" ou alors " POURQUOI TU CEDES A TOUT SES CAPRICES? TU N'EST PAS ASSEZ SEVERE AVEC LUI OU ELLE! A TA PLACE JE FERAI CECI OU CELA POUR REGLER CE PROBLEME".<br />
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Et pour expliquer ceci vous dîtes "En ce moment j'ai plein de problème à ce jour, je vis une situation difficile avec son père ou sa mère, je n'ose pas lui dire NON! et je n'ose pas le corriger de peur de..... je vous laisse imaginez la suite, cela donne de l'avantage à l'enfant qui multiplira ses crises plus tard et vous vous sentirez encore plus dépassé(e) par la situation.<br />
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Un autre cas encore : il arrive que votre enfant soit turbulent, car il vous teste pour savoir quelles sont vos limites. Et il peut se servir de n'importe quel situation pour cela et là aussi vous devez gardez votre sang froid surtout si vous traversez là aussi une période difficile.<br />
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Pour y remédier, je vous apporte sur ce site les informations nécessaires pour régler ce problème existant et pour enfin réussir à imposer la discipline et le respect qui vous est dû de la part de votre enfant tout en gardant votre sang froid dès le début avant que cela ne dégénère. Car il n'est jamais trop tard pour chercher les informations éfficaces pour régler un problème de discipline pendant que l'enfant est assez jeune.<br />
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<br />Julissa16http://www.blogger.com/profile/11811911151778500685noreply@blogger.com0Clichy-sous-Bois, France48.910899 2.54614700000001948.869153 2.4654660000000188 48.952645000000004 2.6268280000000193